L’odeur des peupliers (VII)
Reed. Lou. Walk on the wild side. Hey Babe ? Hurricane from Miami FLA. L’odeur du foutre et de la licence en chanson. La liberté. Hey Babe ? Big Sur ? Démodé. T’es sûr ? Hey Babe ? Tu fais…
L’odeur des peupliers (VI)
Aux mains des amants la folie passagère des caresses limpides
L’odeur des peupliers (V)
Les cloches qui sonnent vingt-deux heures en dix coups. La nuit la pluie Tambourine sur la lucarne, elle voudrait entrer Sa plainte se coule dans la cage d’escalier en fait une cage de résonance mais si j’ouvre à la pluie…
L’odeur des peupliers (IV)
Lorsque mes mains empruntent les chemins vicinaux de sa peau j’ai toujours peur du geste manqué qui m’attend, peut-être, avec sa bordée de mauvais souvenirs. J’ai peur d’être Lui.
L’odeur des peupliers (III)
J’aurais tant aimé vous connaître Debby. Connaître le goût de vos lèvres, c’est fleur bleue. Je tombe amoureux trop facilement, bien souvent autour de minuit. Je sais je sais. Un jour votre prince viendra, c’est ma romance. Mais peut-on expliquer…
L’odeur des peupliers (II)
Laisse mes mains courir sur ton dos elles créent des écheveaux de frissons que j’attrape délicatement un par un les garde dans un coin pour tout à l’heure les pétrir en faire une boule chaude et la venir poser comme…
L’odeur des peupliers (I)
L’odeur doucereuse des feuilles de peupliers pourrissant sur la berge des rivières en hiver
Le rivage de mes rêves
Qui d’autre que moi sait mieux emmêler tes cheveux ? J’y glisse un grand désordre tout amoureux pour que tu puisses tout à l’heure brosse en main mille fois me maudire, je sais alors que tu penses à mes caresses…
Odette. 1920-2017.
Je disais souvent en plaisantant que tu serais centenaire. Tu riais à cette évocation en disant « sûrement pas » ! Pourtant il ne s’en est fallu que d’un peu plus de 28 mois. Je suis certain que personne n’aurait pu prédire…
Albin. 1947-2010.
Il est environ sept heures. Le jour se lève, c’est une belle journée. En écrivant ces lignes compliquées, j’écoute le merveilleux Requiem de Gabriel Fauré. Ce pourrait être un beau matin de printemps. Tu sais, un des ces matins qui…