L’odeur des peupliers (IV)
Lorsque mes mains empruntent
les chemins vicinaux de sa peau
j’ai toujours peur du geste manqué
qui m’attend,
peut-être,
avec sa bordée de mauvais souvenirs.
J’ai peur d’être Lui.
Lorsque mes mains empruntent
les chemins vicinaux de sa peau
j’ai toujours peur du geste manqué
qui m’attend,
peut-être,
avec sa bordée de mauvais souvenirs.
J’ai peur d’être Lui.