L’odeur des peupliers (VI)
Aux mains des amants la folie passagère des caresses limpides
L’odeur des peupliers (V)
Les cloches qui sonnent vingt-deux heures en dix coups. La nuit la pluie Tambourine sur la lucarne, elle voudrait entrer Sa plainte se coule dans la cage d’escalier en fait une cage de résonance mais si j’ouvre à la pluie…
L’odeur des peupliers (IV)
Lorsque mes mains empruntent les chemins vicinaux de sa peau j’ai toujours peur du geste manqué qui m’attend, peut-être, avec sa bordée de mauvais souvenirs. J’ai peur d’être Lui.
L’odeur des peupliers (III)
J’aurais tant aimé vous connaître Debby. Connaître le goût de vos lèvres, c’est fleur bleue. Je tombe amoureux trop facilement, bien souvent autour de minuit. Je sais je sais. Un jour votre prince viendra, c’est ma romance. Mais peut-on expliquer…